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Inglourious Cinéma
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  • Ni futur-réalisateur, ni futur scénariste, mais un simple passionnés de cinéma, qui vous livre son avis en toute modestie des films du moments, passés, des navets, des chefs d'oeuvre, des blockbusters, des mauvais films sympathiques, des nanars ...
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15 novembre 2009

Blade Runner

blade_runner

Synopsis:

Dans les dernières années du 20ème siècle, des milliers d'hommes et de femmes partent à la conquête de l'espace, fuyant les mégalopoles devenues insalubres. Sur les colonies, une nouvelle race d'esclaves voit le jour : les répliquants, des androïdes que rien ne peut distinguer de l'être humain. Los Angeles, 2019. Après avoir massacré un équipage et pris le contrôle d'un vaisseau, les répliquants de type Nexus 6, le modèle le plus perfectionné, sont désormais déclarés "hors la loi". Quatre d'entre eux parviennent cependant à s'échapper et à s'introduire dans Los Angeles. Un agent d'une unité spéciale, un blade-runner, est chargé de les éliminer. Selon la terminologie officielle, on ne parle pas d'exécution, mais de retrait...

Critique:

Film sortie en septembre 1982, Blade Runner est inspiré d'un roman de l'excellent auteur Philip K.Dick, qui sorti sous plusieurs noms, Robot Blues (1976), Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? (1979) et enfin Blade Runner (1985), comme l'histoire est en partie conservée dans les grandes, mais on notes des différences notables, donc je ne m'égarerai pas sur le livre. Nous sommes a Los Angeles, en 2019, la terre que nous connaissions, du moins ce qu'il en reste n'est qu'une vaste et immense mégalopole lugubre, ou la population migre en masses dans des colonies spatiales pour survivre; sur ces colonies naitra une nouvelles races d'esclaves « les réplicants », des androïdes crée a l'image de l'homme presque indifférenciable, qui sont construit pour toute les taches ingrates que les humains ne peuvent faire (tache pénibles, androïdes de plaisir, soldats . . . ). Mais suite a une récoltes des les colonies, les androïdes sont retiré du marché, avec plus ou moins de facilité, d'où l'utilité des « Blade Runner », Rick Deckard devra retiré du marché 4 androïde réputé violent qui sont en quête de leur créateur.

Un des thèmes récurrents des films de science fiction, les robots, comme dans I robots ou ils sont évidemment bien intégré a l'environnement, alors que la ce sont des robots, des androïdes a figure humaine, qui sont fabriqué et programmée pour être le plus proche en émotions d'un humains, malgré leur utilisation pour des taches ingrates, ces réplicants pense et agissent en humains, bien plus que les humains représenter dans le film, ce qu'on voit tout le long, car ils ont une durée de vie de quatre ans, leur créateur fabrique une fausse mémoire avec de vrai souvenir, les androïdes gagnent progressivement en humanité des le moment qu'ils savent que leur vie est limité, ils se mettent en quête de leur créateur pour pouvoir prolonger leur vies; ces réplicants seront traqué par le meilleur des Blade Runner, l'inspecteur Deckard, anti-héros par excellence, seul, alcoolique, qui est obligé de les traquer, je dis obliger car finalement pour lui il a l'impression de neutraliser des humains ce qui se voit quand il abat le premier androïde (zhora) qu'il trouve, il est tout chamboulé, vraiment bouleversé de ce qu'il vient de faire, mais ce qui ne l'empêche pas de continuer, c'est a se demander qui est vraiment Deckard.

Toute l'intrigue est renforcée, par l'atmosphère crée par Ridley Scott, la ville de Los Angeles, encore plus grande, encore plus d'immeuble, plus de pollution, une nuit quasi-permanente, la pluie incessante, des décors futuristes, navette volantes, vêtement décalé, toute trace de faune et de flore ayant disparue la terre est plus malsaine qu'autre chose, avec comme élément dominant, la pyramide de la Tyrell Corporation , une ville aux caractères oppressant et malveillant mis en reliefs par la musique de Vangelis , mélange de musique sombre, de musique classique et de synthétiseur, ce n'est pas qu'un simple décor mais un acteur du film a part entière.

Parlons en des acteurs, Harrison Ford était en pleine bourre a l'époque, Star Wars, Indiana Jones . . . qu'en atterrit Blade Runner, avec un rôle a contre emploi de ce qu'il faisait a ce moment la, Harri ne rigole pas, et cela fait drôle mais il est suffisamment convaincant dans son rôle d'enquêteur pour qu'on y croit, Rutger Hauer tel un ange déchu , s'abat sur terre pour revoir son créateur, un personnage mêlant folie, bienveillance, sagesse tout en contradiction avec sa nature, ou ces sentiments l'embrouille plus que cela ne l'aide, et un final vraiment extra et la colombe a la fin magnifique, tout les deux tiennent le haut de l'affiche mais n'oublions pas aussi Rachel joué par la mystérieuse Sean Young, Pris joué par Daryl Hannah, aussi belle que dangereuse et manipulatrice qui trompera le pauvre JF Sebastien joué par William Sanderson des acteurs qui jouent comme il faut, sans se tromper.

Un grand film de science fiction

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Commentaires
F
Pour la musique de Vangelis je peux comprendre qu'elle puisse agacer, mais elle colle bien au film.<br /> <br /> Et franchement c'est un des meilleurs films de SF que j'ai vue
B
Pas plus fan.C'est un bon film de SF mais la musique m'agace et c'est un peu lent.
E
sans Metropolis, pas de blade runner ni tous les films de SF que l'on connaît.
F
J'aimerai le voir celui Métropolis
E
Clairement un must de la SF très inspiré par l'univers de Metropolis de Fritz lang.
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