La Guerre Des Mondes

Synopsis:

Ray Ferrier est un docker divorcé et un père rien moins que parfait, qui n'entretient plus que des relations épisodiques avec son fils Robbie, 17 ans, et sa fille Rachel, 11 ans. Quelques minutes après que son ex-femme et l'époux de cette dernière lui ont confié la garde des enfants, un puissant orage éclate. Ray assiste alors à un spectacle qui bouleversera à jamais sa vie...

Critique:

J'ai bien aimer ce film , mais vu qu'il y a un mais, je m'en vais vous l'expliquer. Pour moi le livre qui sert d'adaptation au film est mille fois meilleurs, d'une l'époque je la trouve mieux on n'a pas le même contexte (Révolution Industrielle dans le livre); le héros du livre ne s'enquiquine pas d'une fille qui tourne le film trop sur le clicher; la fin aussi quand les soldats s'aperçoivent qu'ils peuvent les tuer, ces pathétiques on dirait des gosses jouant a la playstation; voila mes principaux reproches.

Ce que j'ai apprécier, le rythme du film; pas de temps mort, les scènes s'enchainent sans arrêts de ce fait on ne voit pas passer le film ; les effets spéciaux; tout bonnement fantastique, les orages au début, les tripodes que du grandiose; Dakota Fanning ; elle éclipse la performance de Tom Cruise, tellement touchante et juste dans son jeu que cela en est bluffant.

" Un film a grand spectacle avec un grand S, qui conjugue émotion, action et frisson; dommage qu'ils n'est pas plus pris en compte le livre"

Comments

[borat8]

Si la première partie est génialissime,la seconde est très mauvaise.Mitigé quoi.

[pinksataniste (C]

Je ne connais pas le livre, mais pour moi La Guerre des Mondes reste aussi un exercice critique quand à cette Amérique, d'ou les clichés employés et jusqu'à cette fin, qui laisse un goût amer. Ce n'est pas un classique mais les qualités que tu évoquent quand à elles sont bien là et sont indéniables, et c'est un bon film d'un réalisateur qui n'a alors plus besoin de personne pour apparaître comme l'un des maitres absolus du genre ; je ne sais pas si c'est dommage, mais E.T. & Cie, moi ce n'est pas mon délire...