Man on Fire
Synopsis:
Le Mexique est en proie à une vague d'enlèvements sans précédent. Face au danger, certaines familles aisées engagent des gardes du corps pour assurer la protection rapprochée de leurs enfants. C'est dans ce contexte lourd de menaces que débarque à Mexico l'ancien agent de la CIA John Creasy. Appelé par son vieil ami Rayburn, ce dernier se voit proposer un job inattendu : bodyguard de la petite Pita Ramos, fille de l'industriel Samuel Ramos. La fillette, précoce, pleine de curiosité et de vitalité, insupporte John par ses questions personnelles. Pourtant, au fil des jours, Pita parvient à percer ses défenses. Après bien des années, celui-ci retrouve le goût de vivre. C'est alors que Pita est kidnappée. Bien que grièvement blessé, Creasy se lance à la poursuite des ravisseurs. Inflexible, il remonte la piste, se jurant de retrouver sa protégée.
Critique:
On m'a souvent dit, Man on Fire c'est le film a voir de Tony Scott et venant de personne qui ne l'aime pas trop, je me suis dit il doit être pas mal, des que j'ai eu l'occasion j'ai pris le temps de l'achetais et de le regarder.
Avant d'être adapter par Tony Scott, Man On Fire est une nouvelle de A.J Quinell sortie en 1981 qui ensuite a était porté a l'écran par Elie Chouraqui en 1987, l'histoire a la base se passant dans le milieu de la Mafia en Italie. Mais a la production on a décidé de transposer l'histoire au Mexique car l'Italie et la Mafia leur paraissait cliché, c'est donc a Mexico que l'histoire ce déroule. Dans un pays ou les enlèvements sont légion, les gardes du corps ont la cote et c'est a la descente de l'avion que Paul Rayburn récupère son amis Creasy, ancien de la C.I.A. Par l'intermédiaire de Rayburn, Creasy obtient l'emploi de garde du corps au prés des Ramos, pour surveiller leur jeune fille, la petit Pita, indifférent a la jeune fille, Pita percera cette carapace, jusqu'au jour ou elle est enlever, lui est laisser pour mort … Quand il apprend la mort de la fille, ils décident de la venger …
Meme si l'histoire reste plutôt basique, Tony Scott arrive a bien la développer et ainsi apporté de l'épaisseur a son histoire, le film n'étant pas qu'un simple film de vengeance mais aussi un film sur la rédemption, au travers de Creasy qui traine pas mal de casseroles lourdes a porter et grâce au personnage de Dakota Fanning il recommence a croire aux autres mais surtout en lui. La réalisation dynamique, très stylisé a l'aspect graphique particulier de Tony Scott sied a merveille a cet élan de furie cristallisé par Denzel Washington, une vengeance violente, malsaine, sans aucun regret pour ceux qu'il élimine de façon assez varié, le twist final est a la hauteur du film, oscillant entre soulagement et grande tristesse, un récit qui tient toute ces promesses
Je commencerais d'abord avec Dakota Fanning, une petit fille a l'époque qui je trouve a du caractère car le film en soi est assez violent, l'innocence incarné rends le film plus doux mais aussi plus dur, une actrice qui a du talent a revendre; ce qui n'est plus le cas de Denzel Washington car lui sont talent on le connait, c'est avec grand plaisir qu'on l'apprécie dans ce film, ce transformant en justicier sans peur et implacable d'une crédibilité effrayante; j'ai aimer aussi la prestation de Christopher Walken, a la fois discrète et puissante; l'incorruptible Giancarlo Giannini, le monolithique Marc Anthony en père pas très inquiet et Radha Mitchell qui joue la maman éploré, puis Mickey Rourke et sa tronche décalqué incarne un avocat pas tres net.
Ma critique s'enflamme pour ce film qui assure, a la fois poignant et violent, un bon cru de Tony Scott