OSS 117 : Rio ne répond plus
Synopsis:
Douze ans après Le Caire, OSS 117 est de retour pour une nouvelle mission à l'autre bout du monde. Lancé sur les traces d'un microfilm compromettant pour l'Etat français, le plus célèbre de nos agents va devoir faire équipe avec la plus séduisante des lieutenants-colonels du Mossad pour capturer un nazi maître chanteur. Des plages ensoleillées de Rio aux luxuriantes forêts amazoniennes, des plus profondes grottes secrètes au sommet du Christ du Corcovado, c'est une nouvelle aventure qui commence. Quel que soit le danger, quel que soit l'enjeu, on peut toujours compter sur Hubert Bonisseur de la Bath pour s'en sortir...
Critique:
Le meilleur du pire des agents secrets français est de retour, 3 ans après un premier volet couronné de succès Hubert Bonnisseur de la Bath reviens pour servir la France.
Douze ans après les événements du Caire, OSS 117 est de retour pour une nouvelle mission qui le verra traverser l'atlantique pour aller au Brésil. Lancé sur les traces d'un microfilm compromettant pour l'État français, le plus célèbre de nos agents va devoir faire équipe avec la plus séduisante des lieutenants-colonels du Mossad pour capturer un nazi maître chanteur, voilà pour l'intrigue, qui n'est pas des plus excitantes, car pour moi le plus intéressant a voir c'est le personnage joué par Jean Dujardin, qui tout comme dans le premier volet est en complet décalage avec la réalité, toujours aussi étroit d'esprit, misogyne, raciste est donc pas vraiment prés a changé de mentalité, se confrontant ici au Mossad de ce fait les juifs, a la libérations des mœurs (cf: la partie fine sur la plage) puis encore au Nazi, au asiatiques, mixer tout sa et cela donne un lot de situations des plus décalés et cocasses avec tout le kitsch induit par l'époque, ce que le réalisateur maitrise a la perfection, il y a quelque passage hilarant comme les japonais qui en veulent a OSS 117, puis la poursuite a l'hôpital en déambulateur … avec quelque moments creux et inintéressants par contre, puis bizarrement ce sont ces passages qui sont a la longue énervant, car il y en a trop, on sais que OSS 117 est débile, mais on en prend couche sur couche de gag pas toujours très fin et amusant, comme l'américain hilare des qu'il parle a Hubert . . . Après, cela n'est que mon avis, mais Jean Dujardin cabotine énormément, j'ai du mal a le supporter, bon le film est fait pour lui, mais la trop de gag tue le gag; Louise Monot remplace parfaitement Bérénice Béjo, belle, indépendante et forte, elle joue a merveille ce personnage de femme fatale qui soit supporter Jean Dujardin, je n'aurai rien a rajouté pour le reste des acteurs participant a ce film.
C'est dommage, Michel Hazanavicius, nous sert la même soupe que le premier mais en plus lourd et débile, je mets quand même deux étoiles car il m'a fait rire malgré tout.