Thank you for Smoking

9 mai 2011

thankyouforsmoking

Synopsis:

Lobbyiste séduisant et ambitieux, Nick Naylor met son charme, son talent et son sourire carnassier au service de la société Big Tobacco pour contrer les ravages de la politique de prévention contre le tabagisme.De conférence de presse en talk-show télévisé, il défend l¹indéfendable, mais a du mal à convaincre son ex-femme qu¹il peut être un père modèle pour son fils.

Critique:

Jason Reitman fait partis des réalisateurs que j'apprécie, en trois films il a réussis a ce faire un nom, déjà c'est le fils d'Ivan Reitman et deuxièmement c'est films on toujours un thème fort intéressant, c'est plus ou moins réussis, l'avortement et le fait d'être parent jeune dans « Juno » ou la crise économique dans « In the Air », pour son premier film il parle du lobby autour de l'industrie du tabac, avec Aaron Eckhart. Nick Naylor est un sacré personnage, il travaille pour une société qui prouve que le tabac n'est pas si mauvais que sa !!! Un comble, pas forcément quand on sait s'y prendre, de plateau de télé en salle de réunion Nick Naylor mets tout son savoir pour rendre la cigarette cool, sauf qu'il tomberas amoureux de la paire de seins d'une séduisante journaliste, qui l'éclaboussera a lui, son boulot, c'est amis du club les Marchands de Morts, mais tels un super héros il en ressortira vainqueur !!!

L'histoire est vraiment super bien fichu, d'ailleurs Jason Reitman en ai le scénariste, c'est caustique, sans concession, voir amoral dans certains cas ou Nick Naylor choque et nous ferais passer de la merde pour de l'or, révélant au grands jour un monde d'hypocrite, de lache, symbolisé a mon sens par le tribunal a la fin, des accusateurs incapable de se justifier devant les phrase de Naylor, préférant miser sur une image que sur l'éducation des enfants mais aussi par les deux amis de Nick, tout deux sont aussi dangereux (Industrie de l'alcool et des armes) mais moins que le tabac apparemment, on ne s'ennuie guerre dans ce film a l'humour acide, c'est drole et émouvant mais empathie d'un final trop gentil, trop politiquement correct.

Mais ce final carré n'est rien comme défaut, on apprécie que trop peu la performance de Aaron Eckhart qui semble prendre un plaisir fout a se mettre tout le monde a dos, tout en misant sur son physique d'éphèbe de la nicotine, ces comparses sont Maria Bello l'apôtre de l'alcool a usage thérapeutique ainsi que David Koechner en chambellan de la gâchette facile, Katie Holmes en journaliste sexuellement libéré mais très garce, le grand Robert Duvall qui joue de sa personne pour incarner l'un des big boss du tabac; on trouve aussi le jeune Cameron Bright qui ajoute une touche d'innocence dans cette cohorte de menteurs, William H.Macy petit sénateur, le cowboy Malboro joué par Sam Elliot et JK Simmons aussi.