Predator
Synopsis:
Parti à la recherche d'une équipe de conseillers militaires américains dans la forêt équatorienne, un commando de mercenaires dirigé par Dutch Schaefer est attaqué par un ennemi invisible et indestructible.
Critique:
J'ai déja chroniqué cet année Predators de Nimrod Antal, suite de son illustre ainé réalisé par John McTiernan que j'ai "Enfin" vue, donc trois ans avant Piège de Cristal, la bébête au rastas s'invite sur grand écran avec comme copains de jeu Terminator et Apollo Creed.
Sa commence comme un bon vieux téléfilm, Dilon un mec de la CIA engage Dutch et ces hommes pour une mission de sauvetage, ils tombent sur un camps de guérilleros équatoriens, ils font tout sauter et ne retrouve qu'une seule personne; Dutch demande le rapatriement de ces hommes, quand il commence a s'apercevoir qu'une chose les traques, les obligeant a se terrer et a attendre l'ennemi.
Comme la comparaison est inévitable, le Prédator de McTiernan est beaucoup plus intéressant, on ne s'ennuie pas, le basculement de l'action au fantastique est logique, une meilleure occupation de l'espace, la jungle est immense, oppressante et des séquences d'actions bien mieux tournés, on a aussi cet espèce de mystère entourant la créature car McTiernan nous la dévoile assez tard jouant ainsi avec la psychologie des personnages en résulte des fusillades nerveuse et quelque beau moments.
Un casting avec la mention badass, j'ai dit au début Apollo Creed et Terminator car tout d'abord on a les gros bras de Carl Weather, sa change moi qui ne l'avait en tète qu'en short mais aussi on retrouve Arnold Schwarzenegger encore beau, svelte et bodybuildé qui vas chasser du Prédator; le futur réalisateur de Kiss Kiss Bang Bang alias Shane Black; le lutteur Jesse Ventura qui joue Blain un sacré soldat, Sonny Landham qui joue a l'indien et perçoit en premier le Prédator, Bill Duke qui pètera un câble en premier et souvent cantonné au rôle de militaire ou de méchant.
McTiernan 1 Antal 0; Vainqueur par K.O de l'original datant de 1987