Predators (2010)
Synopsis:
Royce, un mercenaire, se retrouve obligé de mener un groupe de combattants d’élite sur une planète étrangère. Ils vont vite comprendre qu’ils ont été rassemblés pour servir de gibier. A une exception près, tous sont des tueurs implacables – des mercenaires, des yakuzas, des condamnés, des membres d’escadrons de la mort ; des « prédateurs » humains qui sont à présent systématiquement traqués et éliminés par une nouvelle génération de Predators extraterrestres. Voici l’affrontement sans pitié de tueurs absolus…
Critique:
Mon seul attrait pour les Predators viennent des deux volumes complètement débile de Aliens vs Prédators, c'est a dire pas grand chose, mais je trouvais sympa ces sale bête a dreadlocks qui taper de l'alien. Donc pour cet opus qui ce veux être la digne suite de Predators 2 on retrouve Nimrod Antal a la réalisation et Robert Rodriguez a la production.
Pour juger et désigné ce film comme étant une bonne suite on repassera, faute a un scénario quasi-inexistant et tenant sur un timbre poste, on a la planète des Predators, les 8 joyeux participants, les Predators, le meilleur survivra enfin si il survit. A peu de chose près ce ressemble a un survival Koh Lanta, car au final on a aucun enjeu, aucune problématique réellement soulevé, huit personnage inégalement traité, ce qui laisse place au milieux de tout sa a de jolie empoignades entre humains et Predators.
Le réalisateur a beaucoup de bonne idées, mais Nimrod Antal semble péché par gourmandises, beaucoup de chose abordés mais pas bien traités, la jungle éléments essentiel ne semble pas assez oppressantes et lugubres, les moments d'action ne sont pas toujours très long, surement freiné par un budget qui ne lui a pas permis toute les excentricité promise qui se voit avec certain sfx très visible; le pire reste l'histoire qui te donne un os a rongé te laissant dans le flou jusqu'à la fin.
Le castings est alléchant, mais sonne creux tellement qu'ils sont si peu exploité pour la plupart; Adrien Brody tient le haut de l'affiche avec une certaine décontraction lui qui n'est pas un habitué a ces rôles d'actionners bodybuildés; Alice Braga est son alter-ego féminin avec force, Laurence Fishburne est un survivant qui se cache complètement schizophrène, son rôle aurait gagné a être approfondi; Danny Trejo est la mais il semble juste faire de la figuration, Topher Grace le faux médecin psychopathe, Walton Goggins sert a rien, Mahershalalhashbaz Ali joue aussi plutôt bien, Oleg Taktarov le big guy russe dans toute sa splendeur, puis Louiz Ozawa Changchien qui nous gratifie d'un court combat au sabre; les Predators son joué par Derek Mears, Carey Jones et Brian Steele.
Un film qui m'a divertis, mais qui devra gommer tout ces défauts pour espérer mieux faire laissant quand même sur le coup un goût d'inachevé.
Ps: Quelque rectification après avoir vu le Prédator de McTiernan, il est clair que ce nouvel opus rend quelque peu hommage, mais en pompant honteusement des séquences du premier Prédator qui n'arrive pas la cheville de son prédécesseur, les rendant meme moins palpitante et n'amenant rien a la mythologie prédators, le casting si imposant soit il ici n'arrive pas non plus a se montre a la hauteur, ce Prédators signé Antal pètent largement plus haut que son cul et que McTiernan sous ces air de série B est rudement mieux fichus.