Volcano

7 octobre 2010

VolcanoAff

Synopsis:

Ce n'est pas une petite secousse sismique qui va inquiéter la population de Los Angeles, depuis longtemps habituée aux caprices de la nature. Mais ce matin-là, quelques heures après qu'une brève secousse eut reveillé la ville en sursaut, sept employés municipaux qui réparent une canalisation meurent carbonisés par l'émanation d'une forte chaleur. Dépechée sur les lieux, le docteur Amy Barnes de l'Institut géologique va constater qu'une éruption volcanique menace la ville.

Critique:

Après Twister, voici le sommet du film qui me fait rire (MOUHAHAHAHA), VOLCANO de Mick Jackson, sur quel thème (Pas dur c'est donner), le VOLCAN.

Sortie an avril 1997, ce film relatant l'apparition d'un volcan en plein Los Angeles, je ne sais pas personnellement si c'est probable, mais cela me paraît très gros, passons cet obstacle scientifiquement crédible on obtenais un film palpitant, bien fait, les effets de lave sont saisissant de vérité, avec au milieu de tout sa Mike Roark qui doit sauver Los Angeles a lui tout seul;le chaos engendré est partie prenante du film, avec les incendies, la cendre qui tombe telle une neige mortelle, le black-out total devant une situation inattendue bref la forme était bonne mais cela ne suffit pas pour que j'apprécie maintenant ce film

Car quand je l'ai revue, il m'a distrait, c'est vrai, mais les personnages c'est un ramassis de cliché mais faut voir comment, premièrement Tommy Lee Jones la gueule paternaliste par excellence il veut tous faire, être au four et au moulin, lui seul a de bonne idées folle mais qui marche, bougon et râleur il ne s'entend pas avec sa fille, parlons en Gaby Hoffman, aussi chiante et emmerdant tu meurs, moi je l'aurai laisser se faire bruler a la place de son papounet chéri, Anne Heche le stéréotype parfait de la scientifique casse bonbon, puis on peut rajouter le flic raciste (chauve et petite moustache), le noir de service … Je ne parle même pas de la mise en scène qui les accumulent, type dans le métro qui se sacrifie, avec séance de je cris/tu cris le plus fort, de gros plan vaseux sur les yeux de Tommy Lee, en plus on en arrive a nous faire croire que c'est Tommy Lee Jones contre le VOLCAN comme a la fin Mike Roark est sous les décombres et la lave coule en direction de la mer, quand d'un coup Mike réapparait, la lave entre en contact avec l'eau, ainsi de suite, et je vous épargne le couplet de tout unis, tous pareil que le gamin blond nous signale.

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