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Inglourious Cinéma
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  • Ni futur-réalisateur, ni futur scénariste, mais un simple passionnés de cinéma, qui vous livre son avis en toute modestie des films du moments, passés, des navets, des chefs d'oeuvre, des blockbusters, des mauvais films sympathiques, des nanars ...
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31 octobre 2009

Full Metal Jacket

fullmetaljacket

Synopsis:

Pendant la guerre du Vietnam, la préparation et l'entrainement d'un groupe de jeunes marines, jusqu'au terrible baptême du feu et la sanglante offensive du Tet a Hue, en 1968.

Critique:

Stanley Kubrick est un cinéaste reconnu, pourtant avec la critique qui vas suivre cela ne sera que le deuxième film de Kubrick que j'aurais vu.

Le film est basé sur le roman "The Short Timers" de Gustav Hasford ainsi que sur les mémoires de guerre de Michael Herr "Dispatches". Full Metal Jacket, son titre fait référence à un type de munitions en usage dans l'armée américaine (Munition dite FMJ : Full Metal Jacketed, balle entièrement chemisée, c'est-à-dire plomb enrobé de cuivre).

Stanley Kubrick construit son film en deux partie distincte, tout d'abord on suis les 8 semaines de formations de jeune marines, il y a de tout des noirs, des blancs, des jaunes, des grands, des petits, mais il y a surtout leur sergent instructeur Hartman, vieille raclure et plus peau de vache que lui tu meurs, d'entré il les mets au pas, basant sa méthode d'apprentissage sur les insultes et l'humiliation, cassant leur image pour les remodeler a leur façon, sauf que l'une des recrues, Léonard Lawrence surnommé grosse baleine par Hartman, devient la tête de turc du sergent et de toute sa promo, devenant par la suite un soldat discipliné et complètement fou, jusqu'au dernier soir ou il tue le sergent et lui ce suicide; la deuxième partie est beaucoup plus conventionnelle, on est en pleine guerre du Vietnam, on suit le sergent James T.Joker journaliste militaire qui partira au front avec un bataillon de soldat, après que l'offensive du Tet fut lancé par les Viet-Cong, c'est assez fin, le film ne part pas dans l'excès de combat mais ce concentre sur l'homme, sur ce qu'il ressent dans ces moment la, comment ce l'affecte aussi dans sa tête.

Dans ce film j'adore la première partie, premièrement grâce a Ronald Lee Erney, qui étincelle en sergent instructeur, en sachant qu'au départ il n'était que consultant, c'est lui même qui a écrit toute les insultes prononcé dans le film, Kubrick le trouva génial et il a été embauché; son personnage est immonde, il détruit brique après brique chaque recrue, les torts dans tout les sens, pour arriver a en faire des tueurs des machines de guerre, un conditionnement barbare et abject, on apprécie l'interprétation de Vincent d'Onofrio dans le rôle de « Grosse Baleine », il pris plus de 30 kilos pour ce rôle, il nous fais passer le personnage de la candeur a un personnage inquiétant, sombre brisé par ce conditionnement avec comme summum la scène dans les W.C traumatisante. J'aime moins la deuxième partie, elle accroche moins que le début, toutefois j'apprécie le personnage de « Guignol » joué par Matthew Modine, un calme au milieu de fou furieux, un homme qui croit en autre chose que la guerre, ce qui est rappeler sur son uniforme avec un symbole de paix mais aussi avec l'inscription « Born To Kill » sur son casque. Particularité de ce film aussi, c'est qu'en comparaison des films sortie sur la guerre du Vietnam assez rapidement après le conflit, celui ci a attendu une vingtaine d'année, la musique qu'on trouve dans le film est entièrement d'époque.

Un bon film de guerre, posé et réfléchi, a voir.

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Commentaires
F
des que je peux ^^ je me le commande . . . .
E
j'en profite pour vous recommander vivement requiem pr un massacre, soit le meilleur film de guerre jamais réalisé
B
Un film génial de Kubrick avec une première partie percutante.
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