Goldeneye

Synopsis:

Dix-septième aventure de 007 à la poursuite d'une carte informatique, Goldeneye, capable de brouiller tout dispositif électronique, avion, train, ordinateur, téléphone... dans un rayon de 1 000 kilomètres.

Critique:

C'est marrant avec les James Bonds, il est toujours questions de ce renouveler, je dis marrant mais loin d'être étonnant, car depuis 46 ans quelle sévit, elle n'en finit pas de changer, de réalisateur, d'époque, de moyen et surtout d'acteur, c'est ce qui arrive avec Goldeneye, puis que cinq ans après Permis de Tuer (Bien ou Pas, j'en sais rien, je ne l'ai jamais vu) avec Timothy Dalton, c'est l'irlandais Pierce Brosnan qui entre dans la danse.

C'est vraiment l'épisode qui le fait rentrer dans une époque moderne, avec un début toutefois en 1989, ou 006 et 007 sont en mission pour détruire un dépôt sous le contrôle du colonel Arkady Ourumov, ou 006 y « perdra » la vie, en apparence du moins, car il se vengeras 9 ans après de 007, de l'Angleterre avec la complicité des Russes en volant l'arme Goldeneye.

Martin Campbell, réussit pas forcément le meilleur film de toute la saga, mais arrive a en faire un James Bond plus équilibré, jouant sur son humour, sa force, son charme, il se rapproche donc plus de Sean Connery grâce a un Pierce Brosnan des plus inspirés; celui qui en aussi énormément c'est Martin Campbell, qui c'est mener ce film comme il faut alternant temps forts et temps faibles, avec la scènes de cet opus, « la poursuites en char » qui a elle seules vaut le déplacement, personnellement je ne peux en dire plus, si ce n'est que pour MOI (je précise), c'est le James Bond avec Pierce Brosnan le plus regardable.

Ce film est aussi apprécié, vu qu'il nous offrent un panels d'acteurs assez savoureux, Sean Bean alias 006/Alec Trevelyan , caucasien au service secrets de ces finances, ne se vengeant que pour l'argent, Sean Bean trouve un rôle de méchant a sa hauteur, hélas pour lui toujours cantonné a ces roles, puis Gottfried John en Général Ourumov, jouant a la perfection le russe nostalgique de la vielle époque, Alan Cumming alias « l'invincibleuhhhhhhhh » Boris brillant pirate mais trop confiant, puis que serait un James Bond sans les James Bond Girls, on a la diabolique Xenia Onattopp interprété avec brio et un certain sadisme par la délicieuse Famke Janssen, puis la douce Natalya Simonova joué avec intelligence par Izabella Scorupco (Moi aimer  ).

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Pour finir, vous aurez peut remarqué que je n'ai pas souligné de point faible, il y a une raison, qui est qu'au même moment ou j'ai découvert le film, j'ai aussi découvert son adaptation vidéoludique sur N64, j'y ai joué plus que ce qui est raisonnable, c'est donc aussi pour cela que GoLDeNeye restera pour moi le meilleur James Bond avec Pierce Brosnan.

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